RESULTATS DU CONCOURS
Photographie les Modes de vie de demain
Le Podium
Cinq candidatures figurent au podium.
Université Savoie Mont Blanc
Montmartyre est une exploration de l’histoire et de sa continuité capturant l’esthétique du lendemain. Questionnant l'identité, le temps, la société et les perspectives, Montmartyre devient un lieu où l'on vient sans égard à l'histoire de la Commune de Paris en 1871. L'importance des couches temporelles est mise en avant comme paysage culturel pour le monde de demain. Il est divisé en trois cadres temporels : le passé, le présent, le futur
École de Design Nantes Atlantique
Lassée du colimaçon. Sous les pas résonnent dans l'escalier de service les pensées
parisiennes, les bruits du métro, le crissement des pneus. Et le silence, enfin, quand meurt le
dernier son de la clé dans la serrure. Le calme s'achète au huitième étage. Chambre de
bonne certes, mais chambre avec vue. Reste à décider s'il faut s'en échapper ou laisser les
yeux rêver encore un peu.
Lab Institute of Design
When I think of Mediterranean way of living and culture, I think modern way of living
with respecting the culture and things built by ancestors. In this project I wanted to
explore different details easily found on the city, that looks that they are not an original
part of the object, that looks glued on, that looks done with a human touch.
Mediterranean of tomorrow will contain touch of humans, perfection in imperfection.
Shot on film, Canon AT-1.
École de design de Nantes Atlantique
Dans la photographie, la montagne émergeant de la brume incarne l'incertitude de notre avenir. Sa silhouette, rappelant l'île céleste de "Le Château dans le Ciel" de Miyazaki, offre une métaphore vivante de l'inconnu et de l'avenir. Les nuages tourmentés évoquent les doutes et les interrogations qui obscurcissent notre vision du futur, évoquant ainsi les défis à surmonter pour accéder à un horizon plus clair.
École Polytechnique d'Architecture et d'Urbanisme Alger
Le trottoir, habituellement un simple lieu de passage, se métamorphose en un spectacle captivant. Des livres s'étalent, offrant une invitation à la découverte et à l'évasion. Les passants se délectent de cette immersion littéraire, tandis que d'autres contemplent avec admiration. Ce petit coin de rue devient alors un foyer d'échanges intellectuels et émotionnels, perpétuant une habitude dans les rues algéroise.
Montmartyre
MENTION EXCELLENCE
Charvet Myrtille et Andriashko Solomiia
Chambre avec vue
MENTION EXCELLENCE
Sophie Rousselot
To Build on Built
Suhonen Anniina
Echos du possible
Alexandre SALLE, Romain RICHÉ & Baptiste FIHEY
Pages de Rue : L'Algérois transforme les trottoirs en scènes de partage et d'évasion littéraire
Lydia Oudjebar
Le Palmarès
Quinze candidatures figurent dans le palmarès.
Regards parisiens
Khalil et Kakika : maman, que sont ces grandes boîtes ?
On y va polé polé
On nous et eux
Tourism Kills
Sexy Hot Végé
Adossé au monde de demain
Flou
Il suffit d'observer !
Skateboard Révolution : L'effervescence de Didouche Mourad célèbre une nouvelle ère de mobilité et
La caverne
Esprit versatile
Nouveau luxe
Horizon vertical
Cime cramoisie, Branche dénudée
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Amicie REROLLE
Strate École de DesignJe me balade dans les rues de Paris avec un ami, mon appareil photo toujours prêt à capturer l'essence de la ville. Soudain, je repère ce monsieur dans une boutique. Juste au moment où je déclenche mon appareil, il tourne son regard vers moi. Un brin embarrassée mais heureuse d'avoir figé ce moment, je m'éclipse discrètement.
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Oussama Abdellah AMARI
École Polytechnique d'Architecture et d'Urbanisme AlgerLa photographie illustre un moment intime et chargé d’émotion, où Khalil et ma mère sont recueillis au mausolée de Sidi Abderrahman. Des souvenirs de ma mère qui partage des histoires fascinantes sur son enfance et de ces boites sacrés me reviennnent. Je me souviens aussi de ma tante qui a immigré en France et qui revient visiter le mausolée de Sidi Mansour tout chaque été.
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Léonard MICHON
Paris 1 Panthéon- SorbonneLes habitants des grandes villes doivent couramment affronter la vitesse : toujours aller vite vers un endroit fixe. Vers le sommet du Kilimandjaro, on dit souvent que pour l’ atteindre il suffit d’y aller « polé polé » (qui signifie slowly slowly). Pour demain, j’imagine alors un monde plus proche de la nature où l’ on prend le temps d’apprécier ce qui nous entoure, où on arrête de reproduire des modes de vie mécaniques : où on y va polé polé.
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Julia DARGENT
École de Design Nantes AtlantiqueUne enfance, des aller-retour et des pauses. Mais surtout ensemble. L'enfant découvre, les personnes marchent. L'enfant se trompe, réessaie, apprend. Pour construire le monde de demain il faut apprendre des enfants, de leur simplicité et naïveté. Continuer de marcher dans la même direction. Ensemble on y arrivera.
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Anniina SUHONEN
Lab Institute of Design - FinlandeIn Mediterranean area, tourism represents over 70% in terms of Production Value. On the negative side, it can and will cause destruction of nature and loss of the cultural identity of the place and community. This picture was shot in a really touristic city in Mediterranean area. I wanted to explore the local's attitude towards tourism.
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Elisa ANTOINE
Gobelins ParisA l'heure où 65 milliards d'animaux sont tués chaque année pour finir dans nos assiettes, où l'élevage est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre et où les 323 millions de tonnes de viande produites dans le monde ont un impact majeur sur le réchauffement, la déforestation et la consommation d’eau, il est urgent de repenser nos assiettes pour demain."Sexy Hot Vege", une série sublimant le végétal, comme solution pour demain.
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Juliette MASSONNAT
Strate École de DesignDans cette série de photographies, la nature domine la création humaine. Le vélo adossé à la boutique traditionnelle évoque un mode de vie simple. La chaise face à la mer incite à la contemplation de la nature. Ensemble, ces images rappellent l'importance de rester attentif à la beauté et à la tranquillité de notre environnement naturel.
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Vianney DU MESNIL
Strate École de DesignNous vivons un changement drastique ; le monde évolue à une vitesse extraordinairement rapide, mêlant complexité et désarroi lorsque l’on nous incite à adopter une décroissance de consommation. Nous tentons de nous projeter dans un demain incertain qui nous freine, nous effraie et nous culpabilise. Pourtant, cette clarté en contraste avec ce flou envoûtant témoigne qu’un changement a commencé.
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Natasha LITHERLAND
CY École de designDans un monde qui recherche à tout prix l'innovation technique et la grandeur, pourquoi ne pas prendre comme modèle les modes de vie de ceux plus petits que nous ? Les trois espèces prises en photo ici sont essentielles à la biodiversité européenne. Ces photos sont un appel au biomimétisme, car je pense que s'inspirer du vivant pourrait nous permettre de rester vivants dans un monde de plus en plus affecté par le changement climatique.
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Lydia OUDJEBARA
École Polytechnique d'Architecture et d'Urbanisme AlgerLe skate dans l'effervescence de Didouche Mourad ! Une nouveauté qui illumine nos rues familières. Entre voitures et vélos, voici le skateboard, émergeant comme une tendance chez la jeunesse algérienne. Cette évolution inspire les urbanistes à repenser nos espaces pour accueillir cette nouvelle mobilité douce, transformant ainsi un simple jeu en un mode de déplacement empreint de liberté et de modernité.
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Jacques PANINI
CY École de designL'homme du futur retournera à ses origines, tel l'homme primitif qui cherchait refuge dans les cavernes. Celui-ci créera de plus en plus de lieux sécurisés fait de béton et illuminés grâce à des lumières artificielles. Mais les hommes ne seront pas isolés, car comme le montre la photo, l'homme a un ordinateur qui lui permettra d'être connecté avec l'extérieur grâce aux technologies qui seront omniprésentes dans nos vies.
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Jacques PANINI
CY École de designCertaines âmes ne peuvent pas être canalisées. Elles ne se feront pas dicter comment penser ou comment agir. C'est le cas de cet homme en costume traditionnel, qui est en opposition avec le quartier moderne. Celui-ci utilise justement le mobilier urbain comme il le désire. Il trouve une nouvelle utilité à l'objet en créant naturellement une utilité polyvalente à la borne. Le futur ira dans cette direction car la nature de l'homme est libre.
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Jacques PANINI
CY École de designDe nos jours, le luxe est souvent artificiel alors que le plus grand luxe qui nous a été donné est d'être témoins de la splendeur de notre monde. Nos descendants comprendront pleinement la beauté de la Terre. À l'image des ces deux personnes qui, dans leurs conforts grâce à leurs élégants peignoirs blancs, savourent pleinement l'immensité de l'océan non pollué qui sera quelque chose de plus en plus exclusif dans le futur.
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Alexandre SALLE, Romain RICHE & Baptiste FIHEY
École de design de Nantes AtlantiqueDans cette image, un immeuble s'élève vers le ciel, incarnant l'essor de la ville verticale. Les balcons superposés symbolisent la croissance urbaine, chaque étage marquant une nouvelle étape dans notre progression. À droite, un voile descend, évoquant les mystères et les défis du chemin à parcourir. C'est le récit captivant de notre urbanisation, de nos aspirations et de notre capacité à façonner l'avenir.
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Alexandre SALLE, Romain RICHE & Baptiste FIHEY
École de design de Nantes AtlantiqueDans cette photo, l'arbre embrase le paysage de ses feuilles rouges, vibrant symbole de vie et de renouveau. Cependant, au sein de cette profusion, une branche dénudée émerge tel un pionnier, défiant les conventions. Sans feuilles mais s'élançant vers le ciel, elle incarne l'audace de l'innovation, un chemin vers un avenir radieux, où l'audace et la créativité ouvrent des horizons insoupçonnés.
La Galerie
Les candidats participant qui entrent dans la Galerie de l'Institut Français du Design.
Le futur se dessine à travers le regard neuf de l'enfance, non encore façonné par la société. La connexion avec la nature est désormais vitale. Comme cet enfant contemplant ses traces laissées dans la mer, une conscience naissante de notre impact nous guide vers un avenir où notre interaction avec la nature est teintée de respect et de responsabilité.
Les espaces publics transcendent leur simple fonction d'aménagement pour devenir des lieux de rencontres, d'échanges, et de fusion des diversités. Ils tissent des liens entre passé et futur, façonnant le présent. Ces lieux urbains animent nos villes, enrichissant nos vies et nos mémoires. Ils sont le théâtre où se joue la magie de la cohabitation harmonieuse, où chacun trouve sa place, tissant ainsi une toile intemporelle de connexions humaines.
La voile nous apporte une lenteur. Le vent, les courants, le temps rythment nos actions. Lorsqu’il y a une tempête, nos actions deviennent rapides, directes, fermes et ordonnées pour surmonter les obstacles. Et lorsque le vent se calme, cela nous ouvre la voie à l’échange, à la compréhension, à la réflexion. Tout comme notre société traversant un moment de tempête, adoptons une nouvelle vision : celle d’un vent calme nous guidant vers un horizon meilleur.
Comme Henri Cartier-Bresson, qui capture des moments de vie mouvementés et dynamiques, cette photo représente le monde d’aujourd’hui tourné vers demain. Elle illustre une posture sociale où l’on avance ensemble, plus loin. Pour adopter une attitude appropriée dans un monde en mutation, pour développer des compétences évolutives et pour mener une vie face à l’incertitude.
Comme une ombre qui suit nos pas, le téléphone redéfinit nos vies, annonçant un avenir ultra-connecté. Il influence nos interactions, notre accès à l'information, et pénètre chaque aspect de notre quotidien. Il transforme chaque instant en données, devenant indispensable à travers les âges, changeant notre vision du monde et renforçant notre dépendance à une connectivité toujours plus grandissante.
In project "Respect" I wanted to explore ways of nature saying enough. I found this tree
dried in place, that by its being almost looked hostile. Nature isn't happy in the constant
change, constant growth, constant over use. Shot on film, Canon AT-1.
Ces trois photographies prises dans trois endroits différents laissent toutes une place
prépondérante à la nature. En effet, je crois qu’il faut que nous réapprenions collectivement à
regarder la nature. La regarder pour ce qu’elle nous apporte, certes, mais surtout pour ce
qu’elle est : une communion d’être vivant en réinvention permanente.
Plutôt que d’habiter la nature, cette série invite à ce que nous nous laissions habiter par elle.
Printemps, été, automne ou hiver, il n'y a plus de saison pour fabriquer les choses.
Aujourd'hui de l'arbre à la table le temps s'efface. Ces questions qui devraient guider nos
modes de pensées se perdent sur le chemin sinueux de la production industrielle : comprendre le territoire, accepter ses limites, apprécier ses nuances, admettre le manque...
À quand une saisonnalité des objets pour des usages situés ?
This picture embodies the balance of work and play, embracing a life of leisure and
contentment.
As I strolled along the beach near Nice, France, taking in the beauty of my surroundings, my
gaze was drawn to a sight that epitomised the essence of this idyllic setting. It's a reminder
to cherish simple joys and inspire others to dream.
La conception d'habitats écologiques "Sous Terre" pour 10 millions de personnes uses des
matériaux durables comme le bois,la peinture à chaud. Le bois, renouvelable, et la peinture à
chaud, à faible impact environnemental, assurent une construction durable à grande échelle.
La conception bioclimatique maximise les ressources naturelles pour le chauffage et la
ventilation pour les générations futurs.
La photographie illustre un moment intime et chargé d'émotion, où Khalil et ma mère
se recueillent au mausolée de Sidi Abderrahman, ma mère partage des histoires fascinantes sur
son enfance dans cet endroit sacré et que ma tante a mariée et immigrée en France après
avoir entendu le fal. La photo est à coté de Sidi Mansour.
Pendant mon volontariat au Liban, une mission dans la rue la plus défavorisée de Tripoli. Là,
j'ai eu l'occasion de rencontrer une jeune fille, chargée de porter sa petite soeur dans ses
bras. Cette rencontre a été l'occasion pour moi de réaliser l'importance de comprendre la
réalité quotidienne de ces enfants vivant dans des conditions précaires.
Coincé entre le tintement de cette notification tentatrice et le tic-tac de l’horloge
dictatrice. Où est donc passé ce sale gosse sur son château de sable construit avec
l’insouciance d’un sablier cassé ?
Le temps dans une main et un monde « portable » dans l’autre. L’un angoisse tandis que
l’autre efface. Nous avons le choix de pâlir ou de détourner le regard face à ces deux
formes d'asservissement.
La main a toujours été le pouvoir créateur et destructeur de l'Homme. Ces mains sont celles
des bénévoles travaillant à Krater, un espace réensauvagé au plein coeur de Ljubljana, où une
communauté d'artistes et de designers travaillent ensemble sur des projets éco-sociaux. On
y maintient la biodiversité pour montrer aux citoyens et aux politiques la valeur de sa
présence dans les villes; on en fait un catalyseur des relations multi-spécifiques.
Boubée de Gramont Aline
Ecole de Design Nantes Atlantique
Oudjebara Lydia
EPAU Alger
du Mesnil Vianney
Strate Ecole de Design
du Mesnil Vianney
Strate Ecole de Design
Saboundjian Noé
Kedge Design School
Suhonen Anniina
LAB Institute of Design
Vialar Philippine
Institut Catholique de Paris
Jimonet Julien
ENSCI - Les Ateliers
Devshree Sahai
Besign the Sustainable Design School
Besson Coline
Université Bordeaux Montaigne
Amari Oussama Abdellah
Ecole supérieure d’architecture et urbanisme epau
Rérolle Amicie
Strate école de design
« Rapporte-moi le sable du désert et réalimente mon sablier, ma main se transforme en cendres et dan
Rouppert Julia
Université Savoie Mont Blanc - Chambéry
Francheteau Saé
CY école de design